il est où le bonheur, il est où

Tu vois la chanson de Christophe Maé ?
« Il est où le bonheur, il est où ? »
L’autre matin, j’ai eu ça dans la tête…
Mais avec une autre version :
“Elles sont où mes données, elles sont où ?”
Pas très funky, mais tellement révélateur de ce que vivent plein d’indés comme toi et moi :
On bosse en ligne.
On utilise 14 outils.
Et on ne sait plus vraiment où sont stockées nos infos. Pire pour les utilisers il faut faire 18 exporte et avoir un bac +18 en Excel.
👉 Cette édition, c’est pour ça.
Pour te parler d’autonomie numérique, sans bullshit.
Et de comment regagner du pouvoir sur ton système (et sur tes factures, aussi).
💥 Terrain : tout roule… jusqu’au crash
Un client me disait récemment :
“J’ai un site, ma newsletter, mes tunnels, tout… mais si Systeme.io plante, je fais quoi ? Je n’ai rien ailleurs.”
Et je le comprends.
Parce qu’à force d’empiler des SaaS,
on construit un château de cartes avec des loyers mensuels.
Mais si demain un outil ferme,
ou monte ses prix (spoiler : ça arrive souvent)…
Tu fais quoi ?
Tu cours dans tous les sens ? Tu perds des données ? Tu pauses ton business ?
C’est là que j’ai commencé à chercher des systèmes pérennes.
1. Distinguer confort et dépendance
👉 Les SaaS, c’est confortable.
T’as rien à installer, c’est beau, ça tourne.
Mais tu ne possèdes rien. Ni ton système. Ni tes données.
C’est comme louer une maison sans jamais avoir les clés du coffre.
Un clic de leur part = tout peut sauter.
Et souvent, on continue d’utiliser un outil juste parce que c’est “plus simple”.
Mais ce “plus simple” coûte :
- en argent (abos mensuels x 10),
- en contrôle (difficile d’en sortir),
- en stratégie (car tu fais ce que l’outil permet, pas ce que tu veux vraiment faire).
2. Chercher la robustesse, pas la perfection
Non, Ghost n’est pas parfait.
Mais il peut tourner chez toi, sur ton serveur, sans surcouche.
Obsidian n’est pas “collaboratif” en ligne.
Mais tu as 100% de tes notes dans un dossier local.
Tu ne trouveras jamais un outil magique,
mais tu peux construire une architecture robuste.
Je parle d’un système qui respecte trois critères :
- Technique → Est-ce que je peux le réparer moi-même ?
- Stratégique → Est-ce que je peux pivoter sans tout casser ?
- Financier → Est-ce que ça me coûte moins cher qu’une suite de SaaS ?
3. Créer ton “socle numérique personnel”
Ce que je construis en ce moment (et que je propose à mes clients), c’est un “socle” :
- Blog + NL auto-hébergé (Ghost ou Hugo)
- Prise de notes offline (Obsidian, markdown)
- Automatisations auto-hébergées (n8n)
- Data centralisée et exploitable
- Sauvegardes régulières (vraiment)
Pas pour être “anti-SaaS” par principe.
Mais pour avoir le choix.
Et surtout, pour ne plus avoir peur quand un outil ferme ou bug.
🔚 En résumé : stop à la dette technique invisible
La dette technique, ce n’est pas que du code.
C’est aussi tous les outils qu’on empile sans y penser.
C’est ce “je verrai plus tard” qui devient un vrai frein.
Et si tu commençais à poser les premières briques de ton système autonome ?
Petit à petit.
Sans tout casser.
Moi, je peux t’y aider.
🚀 Tu veux t’y mettre ?
📞 Je propose un audit de ton système →
On regarde ensemble :
- les failles,
- les risques de dépendance,
- les pistes d’optimisation.
👉 Clique ici https://www.14h41.fr/reboot-system